« Rien n’est plus important que la vie », a assuré Emmanuel Macron le 28 octobre dernier pour annoncer le reconfinement.
Pour nos maîtres, rien n’est plus important que la vie… Sauf celle des enfants à naître, massivement tués dans le ventre de leurs mères jusqu’au neuvième mois. Près de 230 000 bébés sont tués chaque année, autant que le nombre d’immigrés qui entrent sur le sol français. Avortement, grand remplacement : même combat !
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle de notre économie : commerçants, artisans et autres travailleurs indépendants sacrifiés sur l’autel de la « crise » sanitaire, alors que le taux de létalité de la grippe de Wuhan (ne dites plus Covid !) est inférieur à 0,30% et similaire à n’importe quelle grippe saisonnière.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle des vieilles dames égorgées par des terroristes pendant leur prière dans une église. Terroristes auxquels on réserve un lit d’hôpital alors que le personnel de santé, confronté au manque de moyens, hurle son désespoir depuis vingt ans. Terroristes soignés dans nos hôpitaux alors qu’on explique aux Français qu’il faut rester chez soi pour alléger le travail des médecins et des infirmiers.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle des mal-pensants, que l’on peut tranquillement condamner à la mort sociale en jetant leur nom et leur famille en pâture aux hyènes, en les privant de leurs droits civiques et en les incarcérant pour avoir écrit un livre ou quelques lignes sur les réseaux sociaux.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle des Français durement éprouvés par l’isolement généré par le confinement : les couples séparés, les suicidés, nos anciens qui sont morts seuls dans les EHPAD ou encore les malades atteints de pathologies graves qui ont reculé leur venue à l’hôpital.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle des soldats d’élite français, sacrifiés pour sauver la peau de misérables inconnus partis s’encanailler dans les zones les plus dangereuses du monde, comme le couple de parasites homosexuels libérés au Burkina Faso en mai 2019, dont l’imprudence avait coûté la vie à deux commandos Marine.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle d’Axelle Dorier, d’Anne-Lorraine Schmitt, de Jean-Jacques Le Chenadec, de Jean-Claude Irvouas, d’Adrien Perez, de Philippe Monguillot, de Victorine Dartois, de Jean-Baptiste Salvain, de Jessica Schneider, de Thierry Simon, de Julie Martin et autres Français oubliés, tous victimes de l’immigration-invasion.
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle de l’âme, que l’on prive de messe et d’eucharistie, et de l’Eglise, méprisée sur le territoire même de sa « Fille aînée ».
Rien n’est plus important que la vie… Sauf celle de nos cerveaux, mutilée par les écrans numériques et les ondes en tout genre (Wifi, Linky, 5G, etc.), et de notre corps en général, dévasté par la malbouffe, les perturbateurs endocriniens, les pesticides ou les composants de pilule contraceptive retrouvés dans les cours d’eau avant d’arriver dans nos robinets.
« Rien n’est plus important que la vie », disent-ils… Sauf le pouvoir de l’Etat et du marché sur nos vies.
Reprenons notre vie en main, organisons-nous, désobéissons !
Julien Langella
Retrouvez tous les samedis, dans le Quotidien Présent, les réflexions inspirées par l’actualité à Julien Langella, cofondateur de Génération identitaire et membre d’Academia Christiana.
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