« La croix qui est plantée depuis treize siècles sur une terre chrétienne, cette croix représentant la religion catholique avec ses institutions, ses coutumes, ses familles, ses églises, ses écoles, cette croix ne sera efficacement défendue et sauvée que si l’on défend la terre qui la supporte. »
Dom Gérard Calvet, fondateur de l'abbaye du Barroux
De la tour de Babel à la théorie du genre, le même projet totalitaire traverse les siècles : faire table rase de toutes les différences qui structurent le genre humain (sexe, appartenance à un province, une nation ou à une civilisation) pour ériger un homme nouveau.
Avortement, PMA-GPA, loi Taubira, mondialisation sauvage et Grand remplacement : ces phénomènes mortifères ne sont que les multiples têtes d'un nouvel hydre de Lernes. Tranchez une tête et une deuxième repousse aussitôt. C'est pourquoi Julien Langella lance un appel aux catholiques et à tous les hommes de bonne volonté : contre les apprentis sorciers qui veulent redessiner les contours de l'humanité, il faut engager une résistance totale.
Soyons cohérents : il faut passer de la Manif pour tous à la reconquête intégrale. En s'appuyant sur la Bible et l'enseignement traditionnel de l'Eglise, l'auteur montre le lien évident qui unit le message chrétien au combat identitaire, et comment celui-ci pourrait bien être la condition de la survie de la Foi en Europe.
"Il ne s’agit pas un instant pour Julien Langella de réduire toute identité au catholicisme, mais de montrer que le catholicisme, religion de l’Incarnation du Verbe, religion du particulier dans l’universel et de l’universel dans le particulier, a toujours été une extraordinaire matrice des cultures, remasterisant les identités humaines, illuminées ou historiquement transfigurées par le Mystère du Dieu fait homme." Abbé G. de Tanouarn
Julien Langella a 30 ans, militant depuis ses 18 ans (à l'Action Française puis aux Jeunesses Identitaires), co-fondateur de Génération Identitaire en 2011 et vice-président de l'association Academia Christiana qu'il a rejoint en 2013.
« L’ouvrage de Julien Langella ouvre avec courage la voie à une réflexion libre sur l’origine du lien social et donc sur la crise d’appartenance dans laquelle tant de gens ont l’impression d’avoir égaré jusqu’à leur identité.» Abbé G. de Tanouarn
« Il est si important qu’il y ait des esprits libres, comme Julien Langella, qui, dès maintenant, anticipent sur l’avenir réel, après avoir manifesté le mensonge du pseudo-avenir radieux que l’idéologie tente de réchauffer, avant de s’éteindre elle-même dans un discrédit généralisé, dont il est possible, dès aujourd’hui, d’apercevoir les prémisses. »
Abbé G. de Tanouarn
« Le mondialisme est une culture de mort et le combat identitaire est une marche pour la vie, celle des peuples en tant que communautés de destin aimées de Dieu sous tous leurs aspects. »
Julien Langella
« Les catholiques se mobilisent à juste titre contre l’horreur de l’enseignement du gender à l’école. Mais sans vouloir relativiser le danger qu’elle représente, la théorie du genre n’est qu’une des têtes de l’indifférentisme, ou du mondialisme. Cette hydre de Lerne contemporaine qui souhaite arracher les personnes à toutes leurs appartenances : ethnique, spirituelle, nationale et sexuelle pour les fondre dans le moule d’un homme nouveau, comme le communisme en rêvait. »
Julien Langella
« l’idéologie multiculturaliste est fondée sur le même principe que la théorie du genre : chacun pourrait choisir son identité sans tenir compte de ses origines et de la culture du pays où il vit, en pur consommateur zappeur. »
Julien Langella
« Combattre le gender et ignorer le multiculturalisme est totalement contradictoire. »
Julien Langella